Agamaga
 

La série agamaga se fonde sur le travail de Yaacov Agam, plasticien israëlien né en 1928, grande figure de l'art cinétique.

Agam réalise des œuvres qu'il nomme peintures métapolymorphiques et qui sont constituées de plis réguliers comme ceux du soufflet d'un accordéon, plis peints de motifs géométriques qui produisent des effets visuels différents suivant l'angle sous lequel on les regarde. Le spectateur est donc invité à se déplacer de façon à avoir des points de vue différents sur le tableau qu'il découvre.


Agamaga a retenu l'idée d'une surface, voire d'un univers qui se plie et se déplie, et donc se développe entre un monde plat en deux dimensions ( comme un éventail ouvert en grand ) et un objet en trois dimensions ( comme le même éventail fermé ).

On trouvera là des œuvres qui explorent l'idée de mouvement, de déplacement, de téléscopage entre deux plans, investigation déjà présente dans les travaux d'Agam.

Mais agamaga va au-delà de cette approche plastique en appliquant le procédé au corps ( notamment au visage ) et aux mots.


Une heure ou deux Un jour ou deux Mille millions de mille sabords Un mois ou deux
Un mois ou deux Mille millions de mille sabords Mille millions de mille sabords Mille millions de mille sabords
21Q (vue de droite) 21Q (vue de face) 21Q (vue de gauche) Mourir en mon château
Plis et ponts urinoïroïdes De coeur et de gueule